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Gone With The Book...
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14 juin 2015

Morte-saison sur la Jetée-Promenade - Carine Marret (2010)

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Quatrième de couverture :

Qui donc est l'homme dont le corps vient d'être retrouvé parmi les vestiges du Casino de la Jetée-Promenade de Nice après un séjour de trois semaines dans la mer Méditerranée ? Comment découvrir son identité et dérouler le fil de sa destinée alors que nul n'a signalé sa disparition et qu'il ne porte comme signe distinctif qu'une montre au poignet ? Le commissaire Jean Levigan, qui a le goût des belles lettres et des jolies choses, est chargé de l'affaire. Tel un horloger qui démonte et remonte un mécanisme complexe, il arpentera les méandres de l'âme humaine afin d'en mettre à jour les rouages secrets. C'est ainsi qu'il lira, à travers les silences, le nom et l'histoire du mystérieux inconnu et qu'il démasquera bientôt le meurtrier.

Polar sans intérêt. Je me suis bêtement laissée appâter par l'auteur au récent Festival du Livre à Nice. Je lui avais indiqué avoir tendance à tomber amoureuse des commissaires de police bougons et elle m'avait assuré que j'allais sans aucun doute tomber amoureuse de celui-ci. Dès les premières pages, on apprend que ses animaux de compagnie sont deux rates qu'il laisse sortir de leur cage et vagabonder à travers son appartement... Euh ! Non merci ! Désolée mais pas mon genre ce Levigan !

A part cela, l'auteur - je suppose que je devrais écrire auteure pour être politiquement correcte mais je trouve cette féminisation du mot ridicule; si féminisation, il doit y avoir, alors parlons de l'autrice, non ? et puis le mot n'existe pas dans mon Petit Larousse ! - bref, elle use de tous les poncifs du polar et fait de ce bouquin un truc complètement mièvre et à côté de la plaque. Cela fait déjà deux, trois polars locaux que je lis en espérant retrouver l'âme de certains maîtres du polar marseillais (Izzo, Contrucci, Del Pappas entre autres) mais décidément les azuréens ne sont pas à la hauteur. Dommage !

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