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7 mai 2021

La Déesse des petites victoires - Yannick Grannec (2012)

La Déesse des petites victoires

LU EN FEVRIER 2020

Editeur : Anne Carrière (23 août 2012)

Nombre de pages : 468

Quatrième de couverture :

Université de Princeton, 1980. Anna Roth, jeune documentaliste sans ambition, se voit confier la tâche de récupérer les archives de Kurt Gödel, le plus fascinant et hermétique mathématicien du XXe siècle.
Sa mission consiste à apprivoiser la veuve du grand homme, une mégère notoire qui semble exercer une vengeance tardive contre l'establishment en refusant de céder les documents d'une incommensurable valeur scientifique.
Dès la première rencontre, Adèle voit clair dans le jeu d'Anna. Contre toute attente, elle ne la rejette pas mais impose ses règles. La vieille femme sait qu'elle va bientôt mourir, et il lui reste une histoire à raconter, une histoire que personne n'a jamais voulu entendre. De la Vienne flamboyante des années 1930 au Princeton de l'après-guerre ; de l'Anschluss au maccarthysme ; de la fin de l'idéal positiviste à l'avènement de l'arme nucléaire, Anna découvre l'épopée d'un génie qui ne savait pas vivre et d'une femme qui ne savait qu'aimer.

Albert Einstein aimait à dire : " Je ne vais à mon bureau que pour avoir le privilège de rentrer à pied avec Kurt Gödel. " Cet homme, peu connu des profanes, a eu une vie de légende : à la fois dieu vivant de l'Olympe que représentait Princeton après la guerre et mortel affligé par les pires désordres de la folie. Yannick Grannec a réussi, dans ce premier roman, le tour de force de tisser une grande fresque sur le XXe siècle, une ode au génie humain et un roman profond sur la fonction de l'amour et la finalité de l'existence.

Ce que j'en ai pensé...

Cette sacrée Yannick Grannec a de nouveau réussi à me faire sortir de ma zone de confort !

Lire un bouquin sur la vie d’un mathématicien (moi, la reine des mathématiques !), dont je n’avais jamais entendu parler, ça n’était pas gagné.

Et bien, comme avec Les Simples quelques semaines auparavant, je m’étais laissée embarquer dans cette histoire et m’étais passionnée entre autres pour les échanges entre Einstein et Gödel portant par exemple sur le théorème d’incomplétude... mais oui, mais oui !

 

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