La patience de l'immortelle - Michèle Pedinielli (2021)

Editeur : L'aube Noire (18 mars 2021)

Nombre de pages : 224

Quatrième de couverture :

Letizia Paoli a été assassinée. Pour Ghjulia – Diou – Boccanera, c'est d'autant plus une tragédie que cette jeune journaliste corse était la nièce de Joseph Santucci, son ancien compagnon. Pour enquêter sur ce meurtre, Diou débarque sur une île qu'elle a quittée depuis longtemps et dont elle ne maîtrise plus les codes. Dans les montagnes de l'Alta Rocca, elle doit se confronter à des habitants mutiques, encaisser des coups sans sommation et affronter ses propres souvenirs tronqués. Loin de ses repères niçois, elle va cheminer sur une terre qui brûle, dans un paysage insulaire menacé par la maladie et la spéculation. Entourée de la famille de Jo et de sa propre solitude. Avec pour seuls guides un vieil homme à la main croche et un milan qui tournoie inlassablement…

Ce que j'en ai pensé...

Quel bonheur ce fut en un récent dimanche pluvieux de retrouver la détective privée Ghjulia - Diou - Boccanera pour la troisième fois et de partir en Corse avec elle ! Au diable la pluie, je n’avais pas vu passer la journée !

Diou, la Corse, elle y a ses origines mais elle n’y a pas mis les pieds depuis des années et elle a perdu les codes. Elle, son fief, c’est Nice. Mais quand son ex, flic à Nice, lui demande de venir avec lui en Corse enquêter en parallèle sur le meurtre de sa nièce, elle part et elle fouille parce que c’est son métier. Comme d’habitude, elle va prendre des coups mais elle est costaud notre Diou et au final elle se retrouvera avec un foutu dilemme...

Je vous ai déjà parlé de Michèle Pedinielli et de sa Ghjulia, une sorte de Montalbano au féminin, et je réitère mon invitation à la lire si vous aimez les polars, qui font aussi rire car c’est une sacrée rigolote, cette Diou ! D’ailleurs, elle est une grande fan de notre Commissario sicilien adoré !