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Gone With The Book...
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10 mars 2021

Questa non è una canzone d'amore - Alessandro Robecchi (2014)

Robecchi

Editeur : Sellerio editore (10 avril 2014)

Edition en français : Ceci n'est pas une chanson d'amour - Editions de l'Aube (20 août 2020)

Nombre de pages : 420

Présentation de l'édition française :

Lodovica Repici et Marino Righi ont été assassinés chez eux de la même façon : une balle dans la tête et l’index de la main gauche tranché. Avec une petite subtilité : à l’autopsie, on retrouve l’index de Lodovica Repici dans les canaux rectaux de Marino Righi... De son côté, Carlo Monterossi, passionné de Bob Dylan, auteur d’une émission de télé dont le succès le dépasse, échappe de peu à une tentative d’homicide
et retrouve chez lui l’index de Marino Righi. Index dont le lecteur peut facilement deviner la destination ! Monterossi décide de mener sa propre enquête, en parallèle de celle de la police. Dans une intrigue subtile et menée avec une habileté de prestidigitateur amusé, Alessandro Robecchi touche ici à la
complexité de la société italienne contemporaine.

Alessandro Robecchi a été éditorialiste pour le quotidien Il Manifesto et l’une des plumes de Cuore, l’un des plus importants hebdomadaires satiriques italiens. Auteur de l’essai Manu Chao, musica y libertad (Plon, 2002), il est l’auteur d’une série de romans policiers publiés par Sellerio, l'éditeur de Andrea Camilleri.
L'Aube débute la publication en français de cette série.

Ce que j'en ai pensé...

Amateurs/-trices de polars, alerte pépite !

C’est la première fois que je lis Alessandro Robecchi et ce ne sera pas la dernière, assurément, d’autant que je viens de découvrir que ce roman est le premier d’une série de huit romans. Ça va faire mal la prochaine fois que je rentrerai dans une librairie italienne !

Carlo Monterossi, créateur d’émissions de télévision à succès, que lui-même méprise, est victime d’une tentative d’assassinat inexplicable à ses yeux et se retrouve embarqué dans une folle aventure pour en retrouver l’auteur, lequel a déjà un paquet de gens à ses trousses...

Pas une ligne de trop dans ce roman de 420 pages, qui se lit d’une traite et en plus, c’est très, très drôle car Robecchi manie l’art de la métaphore percutante avec brio.

Pour ne rien gâcher, l’action se passe à Milan, une ville où j’ai tant de souvenirs.

Robecchi rejoint mon étagère dédiée aux ouvrages publiés chez l’excellent éditeur sicilien, Sellerio Editore et en particulier à la série du désormais célèbre Commissario Montalbano du regretté Andrea Camilleri, dont je vous ai si souvent parlé ici.

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